Déterminé, agile et infailliblement impitoyable dans l’octogone, Anthony Hernandez a dansé sur le rythme de ses propres coups depuis son entrée en tant que professionnel en 2014. Établi comme une menace puissante avec ses 2 victoires par KO, Anthony est également un artiste de soumission avec 8 victoires sous sa ceinture incluant 5 par guillotine, anaconda, arm triangle et RNC. Il n’est pas du genre à retarder le spectacle, avec 5 finitions dans le premier round.
Après avoir remporté six de ses sept derniers combats et cinq de suite, Hernandez est en train de devenir un nom familier dans le domaine du MMA. L’origine de son surnom : « J’étais un gamin gros en grandissant. » reflète une nature simple et terre-à-terre, malgré son statut de combattant impitoyable et redouté.
Evoquons quelque-uns de ses faits marquants. À l’UFC 298, il a soumis Roman Kopylov grâce à une étranglement arrière à 3:23 du second round. Durant l’UFC Fight Night de 2023, Hernandez a stoppé Edmen Shahbazyan par strikes au bout d’1:01 du troisième round.
Le parcours d’Hernandez n’est pas sans quelques secousses. Il a connu des échecs, comme à l’UFC sur ESPN en 2020 où Kevin Holland l’a stoppé par strikes au bout de seulement 39 secondes du premier round.
Mais l’esprit de guerrier d’Anthony Hernandez ne pouvait être brisé si facilement. Il a réussi à rebondir comme lors de l’UFC Fight Night de 2019 quand il a soumis Jun Yong Park via une soumission anaconda à 4:39 du deuxième tour.
Faut-il noter cependant un incident soulignant son parcours : lors de l’épisode deux de la DWTNCS 2, Hernandez a mis KO Jordan Wright à :40 de la première reprise. Le résultat a été plus tard changé en aucun contest suite à un test antidopage positif de Hernandez.
La force d’Anthony Hernandez réside dans sa capacité à se relever après une chute, son expérience lui a permis de devenir l’un des combattants les plus redoutés de la scène MMA. Et alors que son voyage continue, le monde attend de voir ce qu’Anthony « le gamin gros devenu combattant » Hernandez a en réserve.
